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On dit souvent que le regard est le reflet de l’âme, que par celui on peut mieux comprendre une personne, comprendre ses émotions ou encore sa personnalité… Mais que cela veut-il dire lorsque le regard d’une personne est éteint… Qu’il est mort les yeux ouvert? Non pas nécessairement, seulement que l’âme se laissait disparaitre. Faut croire que presque personne n’est assez solide pour survivre à cette vision, l’elfe n’était pas une exception. Irkmael se trouvait sur le pied d’estrade de sa ville, en son milieu le royaume comportant plusieurs planche de boit entassé pour former un immense carré surélever. Il avait sur celui-ci quelques chaises renversé, une trappe pour pendre des gens et la corde juste en arrière. Une seule des chaises était sur ses quatre pattes et elle se situait directement sur la trappe et Irkmael se situait dessus. Sur la plateforme se trouvait aussi de multiple cadavre, la majorité en miette ou perforer de centaines et de centaines de flèche. Il y avait des centaines et des centaines de cadavre de soldat éparpiller un peu partout dans le royaume et pourtant ce n’était pas les pires, plus loin dans la ville vers le bourg se trouvait des milliers de villageois assassiné par chance les hommes avaient eu le moins pire destin. La majorité n’avait que la tête trancher ou encore s’était éteint d’une flèche mortelle ou avait eu la chance de baigner dans leurs sang. Si on avait le courage de rentrer dans les maisons on pouvait voir des centaines de femme attaché à des lits, complètement nue, violer et tuée. Leurs seins mutilé, leurs peau ecchymoser et puis finalement leurs gorge tranché. Les enfants quant à eu était décapité en morceau et étendu un peu partout dans leurs demeure, si on se penche d’avantage sur leurs blessures on peut facilement remarquer qu’ils ont commencer par couper les parti qui ne cause pas la mort pour tenter de la garder le plus longtemps en vie durant la décapitation. Un petit tour dans l’infirmerie maintenant, les femmes enceintes étaient maintenu au plafond par des flèches incrusté dans leur tête, leur ventre ouvert à la dague laissant pendre leurs bébés morts dans les airs tournoyait de gauche à droite au bout du cordon.
La ville n’était rien d’autre qu’un ramassis de cadavre, la population venait de chuter de 13 000 habitants à quelques centaines en une semaine. Une semaine ou les canons avaient fait feu, ou les barbares étaient rentré dans la ville en sauvage pour tout détruire. Les humaines, les elfes noirs, les orcs, les démons, les atlantes, les gobelins et compagnie c’était allier pour se massacre… Vous pensez peut-être qu’Irkmael méritait cela et que cela était son prix pour un crime et bien son seul crime était d’avoir cru au parole d’un homme et d’avoir trop fait confiance à ses confrères qui pour la plupart au lieu de l’aider s’était cacher dans un coin ne faisant aucun bruit. La moitié de la population survivante avait fuit la ville le plus rapidement possible et l’autre moitié, les fidèles ceux qui croyait en Irkmael restait cacher dans le château. L’endroit le moins ravagés du royaume et donc le plus sécuritaire. Les quelques survivants étaient nourrit par les cuisiniers du château qui comme les serviteurs s’en était majoritairement bien tirés. Pour l’instant ses êtres espéraient qu’Irkmael reprennent conscience ou du moins donne l’ordre de commencer la reconstruction du royaume, mais en trois jours rien ne c’était passer. L’elfe n’avait pas bougé d’un seul centimètre, il ne faisait que rester la à regarder l’horizon. À regarder ses confrères qui jonchaient sur le sol par millier et les troupes ennemies quant à eux n’avait perdu qu’une centaine d’homme dont la majorité tuer par lui-même dans le château. Au final il n’avait rien fait, sauver personne, détruit aucun ennemi, il n’avait que confirmer ses doutes… Il était un faible. Son grand père lui aurait certainement détruit tout ses assaillants à lui seul et son père en aurait probablement fait de même et lui… il ne pouvait que rester la à regarder les morts.
L’ambiance de la ville était atroce sans compter l’odeur. Personne n’était entré dans ce royaume depuis la guerre. La respiration de l’elfe du désert était régulière malgré la puanteur causée par les cadavres en putréfaction sans oublier l’effet pesant du soleil du désert qui semblait vouloir faire cuire cette chair morte. Aucun villageois n’avait osé aller parler au seigneur par peur que celui-ci l’exécute sur le champ. Pas qu’il aurait fait exprès, mais ses ombres semblaient agité, apeurée. Dans les ombres autour de la plateforme on pouvait remarquer plusieurs œil qui vous regardaient d’un regard glacial, aussi froid que ce sentiment atroce lorsqu’on sait que la mort nous attend. Ses ombres semblaient danser près de l’elfe, l’encerclant, le protégeant… Elles semblaient vouloir du sang. Le ciel était rouge, un mélange produit avec le sang évaporé et la chaleur des lieux surement ou encore peut-être une des malédictions lancées sur son royaume peut lui importait maintenant de toute façon. Les faubourgs était en cendre ayant brûlé durant quelques jours sans qu’une seul pluie viennent tenter de l’éteindre, l’air proche était difficilement respirable, les murs de la cité quant à eux était majoritairement effondrer ce qui donnait une allure obsolète à la porte d’entrée du royaume.
Irkmael bougea les yeux pour la première fois en trois jours. Il semblait avoir vu une forme au loin, quelques choses bouger, n’ayant pas la force, ni la volonté de croire que cela n’était pas une hallucination, mais bien quelqu’un qui se dirigeait vers son royaume. Il faut croire qu’à se niveau, ce n’est pas une forme mouvante au loin qu’il l’avait suffit à le faire sortir de son état.