Hall d'accueil

Une nouvelle saison venait de passer sur les terres bahagoniennes. La dernière saison fut riche en émotions pour les vents: de nombreux liens se sont tissés avec d'autres clans, des fêtes dans le palais des vents, une guerre évitée contre le Protectorat dragonien et une guerre perdue contre les Odieux avec un chef qui s'était auto proclamé dieu du vent. Mais les vents n'avaient pas de suzerains, étaient libres de courir par monts et par vaux, faisant fi de ceux qui tentaient de les capturer. L'alliance des vents qui existait déjà depuis plus de cinq lunes retrouvait sa terre d'origine: Thessalie. Bien sûr, tous savaient que cette terre était le creuset de guerres sanglantes, effrénées et répétées, mais c'était un défi à relever de pouvoir user de diplomatie dans ces terres. Les Vents du paradigme avaient un message à transmettre, un message divin que portait le vent aux quatre coins de Thessalie.

Les vents sont déchainés ces jours ci et hurlent comme des vents venus d'abysses, tumultueux, caverneux, comme des tigres clamant leur fureur. La neige tombe drue sur les plaines de thessalie et revêt les terres d'un manteau blanc immaculé. Les arbres tendent leur branches tels des spectres ligneux, rendant l'atmosphère lugubre et chargée.

Pendant que vous avancez, une sombre bâtisse se présente à vous, un énorme castel, ses tours perforant le ciel comme des flêches de pierre. Deux anges, tout de bleu vêtus, un glaive d'or au fourreau vous accueillent. Vous pénétrez dans un long corridor éclairé de torches. Vous en profitez pour enlever la neige de votre manteau et déposer vos armes dans une chambre contigue.

Puis les anges vous mènent dans une grande salle, éclairée par des globes multicolores lévitant nonchalamment au gré de petits esprits du vent qui semblent vous sourire. L'atmoshère est chargée d'encens au fragrances exquises et raffinées vous mettant du baume au coeur. Une large table en chêne massif trône au milieu de la vaste salle, des hautes chaises la ceignant. Sur des buffets sont éparpillés des bibelots de platines et d'or, de cristal et de matières inconnues, chatoyant dans la lumière des globes. Un ange est placé à l'autre extrémité de la salle. Il est vétu d'une lourde armure de mithril, arborant à son poitrail un lion tenant une rose dans sa gueule. Un petit chat ailé s'égaille sur son épaule.De sa voix fluette et cristalline, l'ange vous salue:

"Bonjour à tous et toutes.

Je vous accueille ici, pour que chacun d'entre vous se présente. Chacun d'entre vous pourra prendre la parole."
[HRP: vous pouvez vous présenter ici en rp si vous le souhaitez, puis en HRP, vous pouvez joindre vos msn aussi]

"Bonjour à tous et toutes.

Je vous accueille ici, pour que chacun d'entre vous se présente. Chacun d'entre vous pourra prendre la parole."

Une douce et chaleureuse voix nous fit moi et tout ceux qui m'entourais nous retournâme pour appercevoir un bel ange avec de belle ailes blanches nous accueillir a bras ouvert un sourire au lèvres étant un peu sur de moi même je m'approcha alors du ce qui me semblait être un jeune homme et me présenta tout simplement comme suit à l'ange:

-Bien le bonjour à vous sir Je me nomme dame Sakura Imasaki je suis neutre ange neutre de l'attirance et de l'amour mais aussi je suis ici pour porter secour à notre si douce et en meme temps puissante alliance puis si cela n'est point trops demander savoir a qui je m'adresse ainsi .

Certes j'étais un ange mais même moi même,je ne connaissais pas tout les noms des autres ange que je ne voyais que très rarement du au fait que je m'occupais plus que de mon peuple pour qu'il puisse survivre.J'attendis la réponse de l'ange avec impatience.

La réponse de l’ange se fessait attendre.

Imagine si. Si quoi ? Le pouvoir. De quoi ? Nul ne le sait.

D’une voix sèche et basse.

Bonjour à tous autant que vous êtes en ses lieux, vous qui semblé bien beau.

Après des lunes passé à erré sans but sur les terres d’autrui me voici enfin devant vous dans la grande salle, je ne sais point à quel force mystérieuse est du ma présence, seule chose que je sais, je suis ici. Seul chose que je crois savoir de la raison de ma présence, de puissant vents mon guider vers ce lieu, que vais-je leur apporter, que vont-ils m’apporter ?

L’ange à demi défiguré parfois beau, parfois laid, par le sombre passé se tient devant vous et demande de bien vouloir l’accepté tel qu’il est mystérieux et remplis de contradiction.

Je voulais apprendre à pardonner, mais j'ai appris à me venger.

Se ferme les yeux dans l'attente d'une réponse de l'ange à l'autre bout de la salle

Hrp: Bisou
Jeune homme de bonne éducation recherche.. je dérive la.

Joueur provenant de la belle-province du québec étant agé de 23 ans.

De retour sur le jeu après une bonne pause voici mon msn : berneagle@hotmail.com

Dans un coin du Hall se fit entendre le toussotement d'un être encapuchonné, terré dans l'obscurité. Se tenant d'abord accroupi, il se déplaça ensuite pratiquement à quatre pattes, s'avançant un peu vers la lumière et le centre de la pièce tout tapant joyeusement dans ses mains. On distinguait vaguement, sous la capuche, les traits pâles et bleutée d'un visage aux antipodes de la beauté.
La créature s'immobilisa, se redressa et prit un air solennel. Du moins c'est ainsi qu'elle semblait vouloir paraître, mais le sourire cocasse qui parcourait ses lèvres violacées empêchait qu'on puisse la prendre au sérieux.

Que d'anges, que d'anges dites-moi!
Des tous zolis *clin d'oeil coquin à Enelya*, des tous fiers *bombage de torse en regardant Eolonon* et même des "pile-ou-face" *grimace horrible à l'adresse de Kedohakoth*! Ca fait beaucoup d'angéliques emplumés tout ça! Mais je suis tellement déçu de ne pas voir de déchu! *pointe soudain un doigt tremblant vers la porte d'entrée* WWHHAAAAaaaaaaaaaaaaaaaaaa!!!!

Et l'étrange créature disparut soudain dans un petit craquement sec, ne laissant derrière elle qu'une diffuse odeur de souffre (ou de pet, selon la finesse du nez).

- Je me nomme Aislynn, ange protectrice de la lumière. Quelqu'un pourrait-il nous apporter des explications ?

Petit souffle Nombre de messages : 1 Date d'inscription : 22/06/2010

Le seigneur Pops était complètement dépassé par la situation. Il ne savait que penser. Les seuls mots qu'il réussi à sortir fûrent :

-Bonjour, je m'appel Pops, Seigneur petite gens, venu pour vous servir

Hélas ses paroles passèrent inaperçue, comme un coup de vent,fort probablement dû à sa timidité légendaire habituelle. Aujourd'hui particulièrement il semblait se sentir démuni face à tout ce grand monde. En effet il avait une petite taille qui était dérisoire même parmi les siens. Malgrés tout, il n'en était pas moins valeureux et vertueux. Un grand coeur dans un petit corps, c'est comme ça qu'il se fesait appeller par ses sujets. Jusqu'au jour où on le surnoma Le coeur à deux courtes pattes

HRP: Bonjour! J'ai été invité dans l'alliance, moi qui veut s'initier au Rp j'ai accepté alors reste à voire si vous êtes daccords aussi :-)

Une nappe de brouillard inhabituelle se déplaçait vers la bâtisse, volatile, légère et pourtant .... Il s'en dégageait une sorte de menace, d'inquiétude mais aussi de douceur rassurante et de douleur. Changeante, mouvante, éternelle et insaisissable. En y regardant bien, elle semblait parfois être une simple nappe informe, parfois on avait l'impression d'y voir une aile membraneuse, parfois une ébauche de tête d'écaille, ressemblant fort à une tête de dragon. Elle se pressa en rampant contre les portes de la maison, y exerçant une pression invisible.

Par un interstice de la porte, des filets de brume commencèrent à s'insinuer dans la salle, rampant au sol comme des serpents dotés de conscience, des filets gris zébrés d'un bleu léger commençant à former un tapis froid et dérangeant au sol, tapis inquiétant qui donnait plus envie de l'esquiver que d'être en contact avec lui. Le plus étrange était que les vents qui soufflaient dans cette salle n'avaient pas l'air d'influer sur son déplacement, comme si la brume n'en avait cure. Elle se répandit, approchant de chacun comme pour l'étudier puis recommençait sa progression tentaculaire dans la pièce.

Les portes s'ouvrirent sous la pression pourtant légère de la brume encore à l'extérieur : elle couvrait toutes choses et le paysage alentour n'était plus qu'ombres fugaces difficilement reconnaissables sous cet immense manteau gris et mobile. Une masse qui semblait plus palpable sembla s'agiter, avancer et la brume palpita à l'approche de cette forme immatérielle qui avançait au centre de la salle. Alors que l'œil cherchait encore à saisir ce qui semblait différent à cet endroit précis, forçait pour distinguer pourquoi cette parcelle de gris en particulier semblait autre que l'immensité de gris alentour, le brouillard se délita légèrement au milieu de la salle, laissant de nouveau percevoir un coin de tapis, un angle de table, un flambeau à sa lisière ....Et une femme en son centre.

Grande, élancée, la peau diaphane à la limite de la transparence, son visage était altier et fin et ses yeux d'une transparence diamantine semblaient percer à jour chacun, inspecter les esprits autant que les visages. Sa longue chevelure grise comme la lune tombait détachée jusqu'à ses reins, ses mains dissimulées dans les larges manches de sa toge qui paraissait tantôt grise, tantôt blanche.
Impassible bien que changeant, son regard de glace se porta sur chacun tour à tour sans qu'elle ne sourit ou ne fasse montre de la moindre expression ... ou de toutes. Elle reporta ses yeux aux sourcils légèrement froncés dans ceux de celui qui semblait être le maître des lieux et sa voix souple, cristalline et légère s'éleva dans la pièce, perçant la brume qui pourtant avait étouffé chaque bruit depuis son arrivée, comme si elle n'en était pas affectée.

Bonjour Seigneur.

Vous m'avez offert de rejoindre votre alliance et j'ai accédé à votre demande. Ne vous offusquez pas si le vent qui souffle ici n'affecte en rien ma brume et si cette dernière les contrarie. Sachez que la brume est fourbe tout autant qu'elle peut être douce et protectrice. Elle fait et va en fonction de ce que j'ordonne car je suis elle et elle est moi.

En son temps, elle a protégé les Légendes, peut être vous protégera-t-elle à votre tour, vous et les vôtres... Dans la mesure où ils ont d'assez hautes valeurs, il va de soit. Les êtres m'importent peu, en dehors d'un seul sachez le. Les êtres meurent mais la Légende demeure, et ma route suit ses pas.

Cependant, tant que j'estimerai que vos actions et vos valeurs sont en accord avec les miennes, ma brume sera bienveillante."

Le silence retomba sur ces paroles sibyllines, prononcées avec douceur teintée d'une menace froide et d'une profonde tristesse qui semblait aussi ancienne que le monde lui même. Elle posa son regard dans un coin obscur, vide à présent, fronça les sourcils et sembla réfléchir, puis reporta son attention sur Eolonon, un coin de ses lèvres remontant comme en une esquisse de sourire.

"Il n'est pas de mise d'offrir une boisson rafraichissante à une Dame nouvellement arrivée ?"

Provenant de quelque part au-delà de la porte un grand brouahaha se fit entendre, comme si une batterie de casseroles venait de se fracasser au sol, et il fut bientôt suivit par une série de grommellements. Quelques instants plus tard, Krasull apparut de nouveau, marchant à demi accroupi et affichant un air visiblement très contrarié. Il portait désormais une longue "cape" foncée, bien peu adaptée à sa taille (ou plutôt à sa façon de se tenir). Elle devait avoir été bleue par le passé, mais ressemblait désormais plus une serpillère trouée et brunie par l'âge et la saleté qu'à autre chose. Il faut dire qu'elle trainait largement au sol, comme une sorte de ramasse-poussière, et volontairement d'ailleurs : Krasull trouvait que c'était un moyen pratique d'effacer ses traces de pas (en laissant une trace encore moins discrète, certes, mais peu importe)

Il passa la porte, cliquetant de partout comme un diable métallique. Il s'était visiblement équipé pour la guerre, et avait revêtu ce qui ressemblait de loin (de très loin) à une armure, en fait une sorte de patchwork improbable de pièces métalliques diverses. Le plus incongru était le casque : un genre de théière en fonte simplement posée sur le haut de son crâne... et sur laquelle était juché un petit lézard rouge et blanc.

Chancelant, il avançait prudemment comme s'il avait peur de tomber et, en effet, sa démarche était des plus déséquilibrées, digne du dernier des alcooliques. Il accrocha du regard, et d'un air vaguement intéressé, un ret de brume qui flânait encore par là, mais s'en détourna rapidement, une ombre passant dans le nacre de ses yeux globuleux.

Parvenu au centre de la pièce il se redressa péniblement, se déployant de toute sa taille, et il était plutôt grand en réalité. Il s'adressa alors à Aislynn, la pointant du doigt (ce qui n'est pas très poli, admettons-le) :

- "Mamzelle l'emplumée, je vous ai entendue! Vous voulez des explications, alors ceci explique cela! Ha! J'ai toujours su que les zozios étaient curieux! C'est un biiiien vilain défaut v'savez?

Krasull se tourna vers l'autre bout de la pièce, ricanant. Son regard passa au-dessus du crane de Pops, qu'il ne vit du coup pas (on n'a pas idée d'être petit aussi...), pour aller se poser sur Brumen. Il la pointa également du doigt (ce qui n'est toujours pas très poli, admettons-le) et s'adressa à elle :

- "Mamzelle la gazeuse, bienvenue. Le service ici laisse à désirer! Comme on fouette pas du tout les esclaves, on peut mourir de soif si on attend! Par contre y a plein à manger, mais faut aimer le poulet! Me semblais qu'Eolonon avait engagé une sorte de nain tout laid pour amener les boissons, mais il doit être parti se saouler! Et si vous nous mettez du brouillard partout, y a aucune chance qu'il retrouve le chemin!"

Krasull inclina la tête vers la droite, dévisageant Brumen et semblant chercher quelque chose dans ses souvenirs, mais le mouvement fit choir la théière-casque qui tomba avec fracas au sol. Le petit lézard rouge et blanc ne s'en montra pas surpris et bondit en avant, assurant son atterrissage sur le bout de la botte de Brumen. Il leva ses yeux reptiliens vers elle, malicieux, et avec vivacité fit le tour du mollet, escalada la cuisse, se faufila sur la hanche puis les côtes pour aller se jucher sur l'épaule.
Il passa sa minuscule langue fourchue entre ses lèvres écaillés, sifflant doucement, avant de bondir à nouveau et aller gambader joyeusement vers les autres convives, tandis que Krasull, violet de honte, ramassait son casque-théière en bredouillant des mots incompréhensibles.

- Du thé peut-être? finit-il par articuler.

Elle regarda l'étrange créature faire son entrée si ... ridicule et fracassante, sans écouter vraiment ce qu'il disait; ses paroles étouffées par sa brume n'étaient pas particulièrement en cause, bien qu'elles sonnèrent comme un brouhaha lointain à ses oreilles.

C'était une créature sur laquelle elle n'aurait pas posé un regard en temps normal, sauf pour lui octroyer une éventuelle pièce d'or au coin d'une rue, mais d'infimes détails avaient attiré son œil transparent et scrutateur: le passage d'une ombre dans ses globes sans pupilles, sa façon de la dévisager, la couleur primaire de cette cape qui la renvoyait à des souvenirs d'un autre temps, d'une autre personne, en d'autres lieux. Son iris diamantin se porta sur les côtés de Krasull au moment où il se redressait, comme si elle y cherchait quelque chose sans consciemment savoir vraiment quoi. Chose qu'elle ne trouva apparemment pas.

Son esprit s'était spontanément et instinctivement tendu vers l'esprit de cet être qui, sans la perturber, dégageait quelque chose ... de connu? D'intrigant? De désagréable? Ses ressentis se mêlaient et s'embrouillaient, comme ses filets de brume l'avaient fait de temps en temps dans les moments les plus douloureux de sa vie sur la Géhenne, quand parfois elle avait songé à renoncer, accablée de chagrins et d'angoisses.

Son inspection infructueuse terminée, ses sondes mentales reprirent leur place et une sorte de légère moue déçue voire triste, passa très fugacement sur son visage, qui repris son impassibilité première, ses yeux se glaçant de nouveau pour sembler errer dans le vide.
Elle frémit au contact du lézard qui entreprenait l'escalade de sa diaphane et insaisissable personne. Le léger tremblement qui l'avait parcouru pouvait passer pour une réaction au contact froid de la créature, cependant il était d'une autre sorte, comme le contact ou le passage d'une main fantomatique, d'un souffle trop chaud ou trop froid. Elle n'esquissa pas un geste, laissant le lézard se jucher sur son épaule et se retint de fermer les yeux un instant, stoïque alors que son index faisait machinalement tourner l'anneau d'or gris qu'elle portait au pouce, ses mains toujours dissimulées dans ses larges et longues manches.

Le créature partie, elle sembla porter une once d'attention à la question que lui posait son apparent "maître", froide et hautaine. Avisant un siège près d'elle, elle s'y installa sans en demander la permission et sans quitter Krasull des yeux: elle n'avait jamais eu besoin d'autorisations pour faire ce qui lui convenait, estimant de surcroit, que le manque de politesse et de réponse du maitre des lieux et de ses condisciples l'autorisait, de fait, à prendre ses aises si cela lui chantait. Sa voix cristalline, sèche bien que neutre, s'éleva de nouveau à l'intention de cet étrange Seigneur qui s'adressait à elle:

"Du vin, dans une coupe je vous prie, s'il est bon et fruité."

Posant son coude droit sur un accoudoir, son menton dans la paume, elle posa délicatement sa main gauche sur son genoux. Sa manche descendit en dessous de son poignet, laissant pour la première fois voir sa peau diaphane, son poignet et ses doigts d'une finesse extrême apparaitre, ainsi qu'un anneau à son pouce gauche, d'une simplicité qui ne dénotait pas de sa tenue tout en contrastant cruellement avec sa prestance.

Après même qu’Eolonon dit ces paroles et que les personnes autour de lui commencèrent à se présenter il ressentit une profonde angoisse. Comment allait-il se présenter? Il fallait qu'il fasse bonne impression mais il ne savait pas comment faire et cela l'angoissait au plus haut point. Eldorwin était un homme très timide et sa timidité lui avait causé bien des problèmes autrefois.

La première invitée qui parla s'avéra être un autre ange et il se dit que s'était sûrement plus facile de s'adresser à quelqu'un de similaire à soi. Deux autres anges se présentèrent et il se dit, affolé, que peut être il y avait un ordre dans les présentations, mais s'il y en avait un, il ne le connaissait pas!

"Il n'y a pas d'ordre spécifique et tu le sais très bien!" se dit-il en tentant de se reprendre.

Chassant ses sombres pensées dans son coin, il s'apprêtait à se présenter quand au moment même ou ses lèvres sortirent un son, un homme de petite taille se mit à parler et il arrêta carrément de respirer pour éviter de faire trop de bruit. Aucun regard dans sa direction, signifiant que celui-ci n'avait pas été remarqué. Il remercia Chaos silencieusement même s'il était sûr que ce bienfait ne venait pas de lui et qu'il ne ce serait pas attarder sur son cas pour une affaire aussi minime qu'un son embarrassant, il se reprit aussitôt dans sa prière et s'excusa de l'avoir déranger.

"Mais quel idiot tu fais, pensa-t-il, heureusement que personne ne sait ce qu'il se passe dans ta tête parce qu'il te traiterai de fou et te renverrai chez toi!"

Il fouilla les alentours des yeux pour savoir si Irkmael était là, il n'était pas plus présent qu'il y a environ deux secondes (ce qui était la dernière fois où il avait examiner les autres convives). Si seulement il était là! Il était le membre qui lui avait parlé de cette alliance et cela aurait été plus facile pour lui si il connaissait au moins une personne au moment de sa présentation devant le chef des vents.

Soudain sa timidité et son malaise disparu quand, sur ses gardes, il ressentit un danger non loin de lui et qui s'approchait comme une aura menaçante, les anges en bleu lui avait enlevé ses armes, une sage décision prise par Eolonon, mais il s'entait que l'être qui s'approchait n'avait même pas besoin d'arme pour être dangereux. Il avait toujours été timide et en retrait dans sa jeunesse, ce qui lui avait permis de développer une sensibilité aux dangers potentiels souvent avant la plupart des gens et, encore une fois il fut le premier à se retourner lorsque de la brume entra dans la pièce. Soudain sa crainte se transforma en respect car la personne qui contrôlait cette brume aussi froide qu’humide, avait réussi à tromper ses sens. Il ressentait maintenant un drôle de mélange d’émotions contraire et de par sa grande sensibilité aux sentiments, il en expérimentait chaque parcelle.

Une femme se démarqua du brouillard qui s’amincissait mais qui restait quand même présent, il remarqua que, sans le vouloir, il avait arrêter de respirer et avec un toussotement rauque il s’éclairci la gorge, il n’avait plus peur de se faire entendre désormais.

Il resta environ une minute à jauger cette inconnu. Il était tellement concentré qu’il remarqua à peine Krasul qui pourtant, avait une interaction avec celle qu’Eldorwin regardait. Sa gène avait fondu comme la neige sur son manteau tout à l’heure dans le hall et était maintenant devenu de la curiosité.

Quand elle eu fini de parler, il pris la parole sans attendre et s’adressa à haute voix à l’assemblée :
«Je suis sir Eldorwin, seigneur elfe noir et si je suis venu ici c’est parce que vous m'avez accepté dans vos rangs et que j'aimerais maintenant me mettre officiellement à votre service, noble ange.»

Il se remit aussitôt dans son cocon, presque gêné d'avoir parler d'une voix forte.

HRP: je suis un joueur de québec, j'ai 18 ans et suis étudiant
Ravi de vous rencontrer

Petit souffle Nombre de messages : 2 Date d'inscription : 16/06/2010

Alors que tous se présentaient...un elfe noir observait la scène. Vêtu d'une longue cape et d'une capuche noire, il observait. Le seigneur Eolonon remarqua sa présence dans l'ombre et l'invita à se présenter devant les autres seigneurs. L'elfe noir avança lentement au milieu de la grande pièce...

Vous avez devant vous Eldran, seigneur noir des elfes. Bien que mon nom ne vous dise rien, vous ne pourrez l'oublier lorsque vous me connaitrez. Si certains prétendent que je suis fou, c'est qu'ils savent qui je suis et ne sont simplement inapte à comprendre.

Eldran porta ses mains à sa tête et fit basculer vers l'arrière sa capuche.

Je suis la pureté de la race Elfique et de l'ombre...tôt ou tard, mes ennemis craindront bien plus ma personne que mes armées...

Un humain s'avança alors à son tour, sa stature et son maintien traduisaient clairement la noblesse alors que son visage reflétait une vie de combat et de souffrance, il était complétement défiguré par des myriades de cicatrices. Lorsqu'il prit la parole, son timbre résonna dans le hall, un son grave et rocailleux...

La magie et la féérie de vos arrivées est un enchantement pour les yeux et Votre proposition est des plus alléchante, les tensions extérieurs se font de plus en plus fortes au fil des jours qui s'égrainent.

En ses temps de troubles il est nécessaire de trouver de bons amis et des fiers compagnons d'armes...Aussi pour me présenter je n'ai point de fantaisies ou de magies à vous imposer pour vous impressionner, seulement mon bras et mon épée qui vous seront des plus dévoués. Ma plume n'est pas extraordinaire mais mes mots traduisent toujours ma pensée inébranlable. Mes gens sont fidèles et bons travailleurs notre royaume sera sous réserve de pillages trop conséquent un royaume prospère et à la pointe des avancées militaires.

Aussi c'est avec abnégation que je vous réponds par l'affirmative à votre proposition d'intégrer votre groupe, j'attends avec une impatience fébrile la suite afin de commencer cette association par un grand festin.

Les portes s'ouvrirent doucement, étrangement, le vent semblait apaisé, il n'émis aucun sifflement et ne fit tourbillonner aucune neige dans le hall comme il l'avait fait lorsque chacun présent dans la salle s'étaient aventurés au travers les portes.

Une imposante silhouette se dessinait à l'extérieur, marchant lentement vers le hall et s'y engouffra toujours avec une certaine lenteur ou nonchalance. Derrière lui, les portes se refermèrent doucement, semblant être close par le vent lui-même. La personne qui se tenait debout était étrange, d'une stature plus qu'imposant, il devait être plus large que le petit-homme que personne n'avait remarqué et dépassant d'une tête le convive le plus grand déjà arrivé, il était envelopper dans une toge fabriquer d'écaille de dragon bleu reflétant la lumière comme un ciel étoilé d'un bleu profond et argenté. Il portait un capuchon et son visage était recouvert d'un masque qui était blanc et qui représentait un visage morne et simple.

Il fit quelques pas avant d'enlever son capuchon et son masque révélant une main imposante, munie de griffe d'une couleur bleuté presque cristalline laissant pratiquement passer la lumière. Son visage apparu, il semblait presque fait de cristal ou de glace, le teint très bleu son visage semblait porter d'étrange petite corne fait de glace tout autour du visage, il avait les traits de certain démon mais en même temps ne pouvait en être un.

Son visage semblait bien las, tellement de chose il avait vu, il regarda tout autour de lui sans sembler impressionner par quoique se soit, il s'avança vers le buffet et y jeta un regard désintéresser. Puis refaisant le tour de la pièce du regards, il repris sa marche, passa par le milieu ou déjà plusieurs c'était présenté et sans dire un mot alla s'installer sur une chaise confortable appuyant sa tête contre la paume de sa main son bras reposant lui-même sur l'appuie bras.

Entrant posément dans le Hall, vêtues de quelques plumes ce fut un honneur pour elle de voir tous ces cauteleux Seigneurs. Dans son langage presque incompréhensif elle fit un effort pour se faire comprendre.

Venant de père Elfique, je dois faire un effort considérable pour parler votre langue. Mon langage étant la langue de la Terre du Milieu. Père étant un elfe bon; il m'a transmit toute la bonté du monde.

Tant qu'a mon allure humaine; ma mère m'en a fait don. Une reine sanguinaire. Une mère dont je me rappelle très peu de détails. Les pourparlers dont j'ai eu connaissance me laissent croire qu'elle serait décédée.

Naviguant être le réel et le non réel je ferai de mon mieux avec toutes les capacités que l'on m'a léguées.

Petit souffle Nombre de messages : 5 Age : 36 Date d'inscription : 30/06/2010

Un nouveau profil s'avança à son tour. Son visage ne disait rien à personne, seules les marques laissées par l'Amazis sur sa peau laissait entrevoir qu'il était de la race des Atlantes. Il faisait ses premiers pas chez les Vents et semblait admiratif du décor dans lequel il était reçu et des personnages plus charismatiques les uns que les autres qui occupaient ces lieux.

Il commença alors:
"Bonjour à tous, je me nomme Nairolf. Je m'intéresse à une technologie développée jadis par mes ancêtres. A l'image de Nerglas, de tente de reconstituer des connaissances perdues sur l'énergie solaire et le magnétisme. Peut-être que mes études vous seront utiles pour faire tourner les Vents en votre faveur."

Le cliquetis d'une étrange invention se fit entendre et l'homme reprit le cours de ses recherches.

L’elfe marchait dans les terres d’Eolonon, un ancien ami de son grand père parait-il… Du moins celui-ci lui avait compté assez d’histoire pour comprendre que cette ange était un grand et pratique une légende. Ivalios et Enelya, ses grands-parents lui avaient aussi parlé de plusieurs autre personne tel Zero, Andell et d’autre qui avec longtemps il avait oublié le nom. Un frisson le ramena à la réalité, c’est fou comme il faisait froid ici et c’était quoi ses trucs blancs qui tombaient du ciel sans cesse, quelques-uns lui avait dit que c’était de la neige. De l’eau cristallisée par le froid… LE FROID… Lui qui était si habituer de vivre dans son désert comment pouvait-il survivre ici… Nouveau frisson qui le fit grogner et taper du pied. À la ville voisine quelques personne des plus aimables lui avait passé fourrure et manteau. Malgré les plusieurs couches de linge qu’il avait, il ne pouvait s’empêcher de souffrir sous ce froid excessif qui lui mordait la peau. Cela est sans compter toutes autre personne qui le croisait qui le regardait et puis soudainement se tournais vers leurs amis ou proche pour leurs chuchoter des trucs à son sujet et de rire au peu de lui… Se faire rire de lui était bien la pire chose qu’il pouvait lui qui ses deux plus grands pêchés étaient certainement l’avarice et l’orgueil. C’est ainsi qu’il marchait la tête basse évitant de regarder les gens. Faut dire qu’il était chanceux les coutumes de son royaume voulait à ce que le village sois voiler ainsi que la majorité de la tête ce qui permettait aux personnes de ne voir que ses yeux qui étaient bien banales après tout et facilement oubliable.

Cela faisait combien de temps qu’il marchait la… Une heure, dire qu’il avait cru que le château est proche… NON! Il était juste immense se château et plus il se rapprochait et plus il trouvait son royaume minable comparer à celui de l’ange. Nouveau frisson et cette fois si il ne plus retenir un cri de hargne ce qui lui attira le regard de quelques curieux… Il grogna et continua sa marche. Faut dire que pour un elfe cet homme avait un peu trop de caractère, c’était pourquoi ils y avaient beaucoup plus d’elfe noir qui lui avait juré fidélités que d’elfe de la forêt… Faut dire que c’est un peu normal… Il n’y a pas de forêt dans le désert. Un long soupire vint traverser la fine espace que créait ses lèvres sous son foulards, c’est définitif il allait mourir de froid. Pourquoi s’était-il promis de ne pas utiliser ses pouvoirs pour arriver dans le château, c’est sur qu’il y a de l’ombre dans le château non… Nouveau soupire de lassitude, il lui restait combien de temps à marcher encore.

Après quelques minutes de marches qui parurent pour Irkmael durée une éternité celui-ci arriva devant la porte du château. Il leva la tête avec lenteur et ne plus apercevoir la fin des tours et ceci lui coupa le souffle quelques secondes. Il devait être vieux et excessivement riche lui pour avoir un si grand castel. *Bon, faut dire que lui n’a pas besoin de se cacher dans le désert, avec un si gros château tout le monde pourrait trouver mon royaume* Les deux anges le regardèrent d’un regard des plus suspects. Faut dire que la souper avait surement commencer depuis quelques sabliers déjà… Il poussa un long soupire et frissonna ce qui lui fit serrer les dents… L’elfe tenta de dire entre quelques frissons.

-Je suis Irk…Mael… Je… Souper… Eolonon…

Après les quelques secondes nécessaires au garde pour comprendre ce que l’elfe avait tenté de dire ceux-ci hochait la tête. Il était bien sur la liste des invités et pouvaient donc rentrer. Une fois rentrer dans la pièce l’atmosphère changea spontanément ce qui le troubla un peu. Le décor était incroyable, il y avait des torches partout et il faisait… CHAUD! L’homme du désert en profita pour enlever la multitude de manteau qu’il avait sur le dos et les laissa à côté de la porte ce disant qu’il allait revenir chez lui d’une autre façon beaucoup plus rapide et plus chaude. En regardant de gauche à droite il aperçoit une salle ou plusieurs armes sont entassées… Il hausse les épaules et enlèves ses deux rapières de son dos, le katana à son fourreau et les multiples dagues cachés sur lui un peu partout. Une fois désarmée l’elfe baissa son foulard pour le laisser à son coup. Il était habiller complètement de blanc et de beige ce qui lui permettait de bien se camoufler dans ses terres, ses cheveux de couleur brune semi long descendait jusqu’à son cou, il portait à ses oreilles des boucles d’or et à ses doigts étaient posés plusieurs bagues. Il pencha lentement sa tête de gauche à droite question de faire craquer celui-ci et commença sa marche dans le couloir. Irkmael arriva finalement devant la porte, il entendait du bruit de l’autre côté et sourit pour lui-même. Après tout il n’était vraiment pas du genre à être gêné lui, il poussa les portes et la vision qu’il eut le paralysa quelques secondes…

C’était magique, c’est le seul mot qui lui venait à l’esprit… Comment une pièce pouvait être aussi emplie de magie, des globes volaient dans les airs accompagnés par des esprits qu’il n’avait jamais vus… Par contre il savait ce que c’étais, des esprits du vent… L’ambiance, l’atmosphère avait encore changé… C’était quoi cette odeur, aucune idée mais cela sembla le calmer et le rendre paisible. C’était tout à faire incroyable, l’effet pris fin rapidement lorsqu’il remarqua que plusieurs personnes le regarda. Il croisa ses bras avec lenteur analysa un à un chaque personnes présente voir s’il pourrait reconnaitre quelques personnes, soit des connaissances ou encore des personnes qui allait avec les descriptions de son père… Après son rapide tour de table il ne reconnu qu’Eldorwin, une vieille connaissance.

-Je crois que c’est coutumes de se présenter… Je suis Irkmael Martradyr, je suis ici pour servir Eolonon comme mes ancêtres l’on fait avant moi.

Il n’était pas pour en dire plus voyons de toute façon tout ce qu’il aurait pus dire aurait passé pour des défauts… Vantard, avare, aimant les ombres, adorant les femmes et l’alcool, rien de bien passionnant à dire après tout. Lorsque la majorité des pupilles tournés vers lui se retournèrent vers quelques choses d’autre, il marcha jusqu’à l’endroit ou était assis Eldorwin et s’assis à côté de lui voyant que personne n’y était encore. Son frère n’était pas encore arriver, toujours en retard celui-là…

Hors alors que Sakura se promenait parmis les invités un nouvel arrivant se pointa dans la salle ou se passait la reception.La jeune demoiselle ange se fraya un chemin parmis les invités pour pouvoir appercevoir d'un peu plus près car cette nouvel aura qu'elle ne connaissait pas l'intriguait c'était si fort si puissant comme un aimant elle se dirigeait vers le nouvel arrivant.Une fois a une bonne distance qu'elle jugea assez près la jeune femme resta sur place son regard bleu d'azur se perdit sur le jeune.*Humm devrais-je allez voir de plus près je le vois d'ici mais je me pose beaucoup de question.Humm bon d'accord pourquoi pas*Elle s'approcha un peu plus près et rendu à bonne destination du jeune homme,elle dit alors à celui-ci:

-Bien le bonjours Sir Irkmael je me présente Dame Sakura.

Elle le détailla de la tête au pied,elle resta un peu de marbre en fasse du jeune homme a qui elle parlait mais au plus profond d'elle meme son coeur d'ange batait la chamade,elle ne savait pas vraiment quoi faire par un situation pareille.

Petit souffle Nombre de messages : 1 Date d'inscription : 30/06/2010

Un grand colosse, aux airs durs, s'avança lentement vers la foule de seigneurs rassemblés dans la grande pièce.

Peu à peu, toutes les créatures désirant joindre les rangs des cohortes du Vent y allaient d'une présentation plus ou moins brèves d'eux-même.

Lorsque ce fût au tour du Barbare, il prit, avec plaisir la parole afin de s'introduire aux invités.

Salutation à tous,

En premier lieu, je tiens à signifier que c'est un honneur pour moi de me retrouver parmi vous.

Je me nomme Cheelout dit le Solitaire, fils de Guest le Terrible. Jadis, je fûs le dirigeant d'une puissante armée de barbares acquiéris qui livrairent de furieux combats sanglants sur les terres de Phères.

Après moult batailles, j'ai décidé de migrer seul, en Thessalie, afin de trouver un peu de calme et de repos. C'est tout ce que je souhaite divulguer, pour le moment, sur mon passé plutôt mouvementé.

Le regroupement des vents me semble être un choix judicieux afin de m'épanouir. Avec le temps, je me suis assagis et désormais je suis davantage pacifique. Je mets ma lame au service des plus faibles et des opprimés de ces terres. Évidemment, je priorise avant tout la plume afin de parvenir à mes fins, mais, en derniers recours, mes instincts guerriers refont surface et je sais me faire respecter par ma lame.

Je vous laisse donc, le soin de me juger et de décider si je suis digne de me joindre à vous.

Sur ce,-

Hrp: Mon rôleplay est quelque peu court, j'ai bien des occupations par le temps qui courent. Par contre, l'échantillon résume l'essentiel.

L'homme assied la tête toujours reposant dans la paume de sa main regardait le spectacle, à la limite grotesque des gens qui les uns après les autres passaient par le centre de la pièce pour donner quelques informations presque futile à propos d'eux-même.

Il soupira doucement, se disant intérieurement qu'il y avait une bonne raison pour laquelle il participait à tous cela. Il pensa même à s'introduire, mais l'envi lui passa rapidement.

Il se contentait d'observer et surtout d'écouter, recueillant chaque brise qui transportait phrase, mot ou simple lettre pour les analyser, les comprendre et commencer à ramasser de l'information sur ceux qui pourraient être ses allier.

Sur son visage, on pouvait lire la lassitude mais aussi un certain age, ses yeux fixaient le vide devant lui mais semblait observer quelques chose de bien précis. Semblant presque dormir les yeux ouvert, il était au fait du moindre fait et geste de la salle.

Trop de monde arrivait dans cette pièce: trop habituée à la solitude, ce défilé de gens pontifiants et l'échine courbée, jurant fidélité et mise au service d'un autre qu'eux même étirèrent un coin de ses lèvres en une ébauche de sourire sarcastique. Elle observait l'incongruité de la situation, assise dans le fauteuil qu'elle s'était octroyée, à l'écart de la grande table, la brume palpitant autour d'elle d'un espèce de rire sans joie. Seul cet être étrange et décalé semblait fait d'une autre trempe, elle le percevait.

Des anges, des timides, des prétentieux, des femmes qui semblaient chercher plus un mâle que la cohésion de tous ... Le monde avait-il donc tant changé durant sa stase? Non. Il en avait toujours été ainsi hors des Légendes.
Elle fit un dernier tour de salle du regard, ses filets de brumes effleurant chacun, analysant chaque âme et chaque esprit avec légèreté, sans trop s'attarder, rapportant à leur maitresse moult petits détails sur les convives. Elle savait pertinemment que les gens autour d'elle n'apprécieraient que peu de se savoir ainsi étudiés et "fouillés", mais elle n'en avait cure: ses rets mentaux n'étaient pas décelables et elle avait besoin de savoir ce que valaient ces gens auprès de qui elle était sensé combattre. Son œil diamantin impassible et froid ne laissait aucunement percevoir les sentiments ou pensées qui pouvaient lui traverser l'esprit, ni les conclusions qu'elle tirait de son étude de chacun.

Toujours assise, sa main droite quitta l'accoudoir sur lequel elle était posée et s'éleva en un geste léger, ses doigts opérant un mouvement qui semblaient une danse rapide. Et la brume se condensa autour d'elle, comme vivante, revenant à elle en larges rubans blancs veinés de bleu, s'enroulant autour des pieds du fauteuil, rampant amoureusement le long de la toge, du buste, du visage, la faisant paraitre un dernier instant encore plus diaphane et irréelle qu'elle ne l'était, pour la dissimuler tout à fait à la vue des présents. Le tout n'avait duré qu'un instant ou deux, mais le temps avait semblé s'arrêter, comme si la brume étirait le temps, étouffait et atténuait toutes choses.

Elle avait retrouvé la fraicheur et la douceur de sa brume, protégée des regards bien que le sien puisse transpercer le voile qui l'entourait. Elle tendit la main comme pour la replacer sur l'accoudoir mais la décala sur sa droite, la faisant reposer sur un amas de brume plus dense, amas qui ressemblait à s'y méprendre à une tête de dragon écailleuse...

Ses yeux et son esprit continuèrent leur analyse des créatures présentes et des nouveaux venus.

Petit souffle Nombre de messages : 7 Date d'inscription : 01/07/2010

Vaxeyz était le fils de Vaxeyz. D'une grande lignée de gobelins, le nom Vaxeyz, porté par son père, fut choisi pour immortaliser cette famille. Après avoir été le plus perfectionné laboratoire de recherche Gobelins et avoir construit des milliers de Zeppelins, Vaxeyz était désormais à la tête d'un empire marchand conséquent de part ses ventes mais aussi le sens des affaires innés des Gobelins.

-Bonjour chère assemblée. Il semblerait que nous soyons tous alliés. Je peux vous proposer du minerais, des armées technologiquement avancées, cependant je ne maîtrise pas la magie. Cependant les règles en vigueur concernant les échanges de marchandises, sur ce royaume sont d'après mes ancêtres très rigides. En espérant que cela évolue, ainsi je pourrais vous faire profiter de l'excellente gestion de ma fortune.

Son regard continuait de vagabonder d’une personne à l’autre, plusieurs personnes semblaient introverties, dans leurs coins, seul, silencieux. Quelques-uns par contre attira plus son attention, une fille dans un coin de la pièce qui regardait le monde avant le même regard que lui, se regard si inoffensif et pourtant si révélateur. C’est ce même regard qu’on prend lorsqu’on réfléchit, sur quoi pouvait-elle réfléchir. Dans le fond peur importait, il ne serait probablement jamais de toute façon. Sa tête se tourna donc avec lenteur pour regarder son vieil ami, il s’était connu il y avait si longtemps lorsqu’il voyageait avec son père l’ambassadeur drow. Il poussa un long soupire lorsqu’il regarda comment était habiller Eldorwin, pourquoi portait-il un col roulé et ses vêtements qui cachaient la majorité de sa peau. Une de ses paupières se ferma légèrement se qui lui donna un air sérieux, mais avant de prendre parole son visage se détendit ne voulant pas offensé ou encore faire peur à son ami si timide. Sa voix était suave et douce, une mélodie à attendre, chaque ton semblait être approprier et valsait tranquillement jusqu’à nos tympan.

-Voyons Eldorwin, tu ne va tout de même pas me faire croire que tu sa froid ici ou fait tu sa pour cacher ta malédiction. Regarde tes vêtements voyons, si moi j’ai chaud tout le monde à chaud c’est une évidence. Après tout tu le sais bien je ne supporte pas le froid, satané neige elle a bien faillit me tuer celle-là

Il poussa un long soupire qui alla finalement mourir dans le brouhaha des discussions. En fait c’était tout simplement incroyable ce contraste, comment une alliance pouvait être soudé si la majorité de leurs membres n’avaient aucun point en commun. La seule chose qui pouvait les unir dans les vents était leur amour pour celui-ci et leurs rêves d’un monde meilleur ou les armes n’auraient plus aucun sens. Eldorwin finit par lui répondre, son ton simili fâché teinté de la peur de se faire attendre le fit sourire. Comment ses deux là pouvaient-ils être ami, cela était un mystère que personne ne résoudrait, un était arrogant, vantard et fier et l’autre était timide, réservé et ne souhaitait pas attirer les regards… Mais bon leurs amitiés de jeunesse avait tout simplement durée après tout. Il haussa les épaules avant d’entendre des pas se diriger vers lui… Irkmael ne daigna même pas bouger la tête ne se préoccupant point de ce que la personne derrière lui pouvait bien lui vouloir.

- Bien le bonjour Sir Irkmael je me présente Dame Sakura.

Sakura… Il n’en avait jamais entendu parler. Elle ne faisait donc pas partit des légendes que son grand père lui avait si souvent rencontrer lors de ses visites dans ses terres arides. D’après la présence qu’elle dégageait elle devait être un ange, sa voix douce qui sonnait comme une fée venait le prouvée aussi. Que pouvait-elle lui vouloir, il était inconnue de tout le monde ici excepter Eldorwin. Sa tête bougea tranquillement de façon à apercevoir l’ange derrière lui. Son corps finit sa rotation sur la chaise de façon à se que son corps son orienté vers elle. Il soupira joignant ses mains avant lenteur pendant que ses iris bougeaient de haut en bas pour regarder l’ange… Faut dire qu’au moins elle était jolie, sa ne seras surement pas si déplaisant lui parler dans ce cas.

-Bonsoir à vous dame Sakura, je ne me présenterai pas puisque vous semblez bien vous souvenir de mon nom. Que puis-je pour vous ?

En attendant sa réponse son regard se tourna vers Cheelout, un grand type beaucoup trop baraqués qui se présentait. Comme un barbare pouvait-il adhérer au concept des vents, dans sa tête s’était presque ironique que des barbares veulent la paix dans ce monde, mais bon comme le disait son père, le destin est souvient bien étrange, mais l’important est que tout est déjà écrit et que rien ne changera… Rien ne changera, cette phrase l’avait toujours marquer ne comprenant pas pourquoi on devait vivre sa vie si de toute façon tout ce passerait comme le destin l’aurai prévu… Avant de finir sa réflexion c’était déjà le tour d’une autre personne de se présenter, un gobelin… Ces petites créatures avaient beau avoir un physique d’enfant et être terriblement horrible à regarder, au moins ils avaient le mérite d’inventer plusieurs choses intéressantes. C’est d’ailleurs la seule et unique raison pourquoi il en laissait entrer dans son royaume. Pour terminer son tour de salle Irkmael posa ses iris brun sur Eolonon. Il était si silencieux, il avait l’air si absent. A quoi le grand chef pouvait-il bien penser après tout ? Le regard de l’elfe du désert se retourna vers Sakura, quelqu’un chose manquait dans la salle… Qu’elle que chose aurait du se trouver dans son champ de vision… Oui l’ange qu’il avait regardé tantôt, il avait regarder partout dans la pièce question de voir les nouveaux présenter et Eolonon par contre il ne l’avait pas vu. Est-ce qu’elle était sortit sans qu’il s’en rendre compte… Il finit par hausser les épaules accompagné par un de ses nombreux soupires.

Eldorwin était ravi qu'Irkmael soit enfin arrivé et quittait peu à peu la stupeur des présentations, ils s'échangèrent les salutations communes des peuples du désert qu'il connaissait à cause de ses voyages avec ses parents souvent dans les régions éloignés. Il se remémora la première visite dans ces terres, Il était jeune, ses parents étaient vivants et sa peau de couleur sombre... Il se souvint de la première fois qu'il rencontrait les frères Martradyr, leur expression était normale! C'est ce qu'il avait aimé chez les deux frères, ils l'ont regarder comme une personne ordinaire et cela l'avait plu énormément. Irkmael, qui avait deviné lui avait prit la main avec un sourire et l'amena jouer avec lui et son frère à un jeu étrange dont il n'était pas très bon d'ailleurs…

Le fait qu’il ressasse tous ça devait être apparent puisque Irkmael le tira de sa rêverie avec une remarque qu’il aurait préféré éviter : «Voyons Eldorwin, tu ne va tout de même pas me faire croire que tu as froid ici ou fait tu sa pour cacher ta malédiction. Regarde tes vêtements voyons, si moi j’ai chaud tout le monde à chaud c’est une évidence. Après tout tu le sais bien je ne supporte pas le froid, satané neige elle a bien faillit me tuer celle-là»

Il avait tenu sa peau noire avec sa magie durant les présentations de tout à l’heure mais, n’ayant pas la force de briser la malédiction de son père plus longtemps, il s’était laissé tomber sur sa chaise. Il releva aussitôt son col et l’attacha aussitôt, prétextant qu’il avait froid et il minimisa l’enchantement sur ses mains et sur les rares endroits de son visage que son attirail ne pouvait pas couvrir. Il se doutait bien que les autres convives se posaient des questions, mais personne n’avait rien dit ou s’il avait dit quelque chose il ne l’avait tous simplement pas entendu.

Il répliqua d’une voix qu’il ne voulait pas trop ferme pour rester poli et assez basse pour que nul n’entendre :«Chut… tu vois bien qu’il y a d’autres elfes noirs assis à la table et s’il apprenait pour ça… eh bien je ne saurai franchement pas quoi leur dire… mais ne t’inquiète pas je vais leur dire tôt ou tard…»

Juste en disant cela une jeune ange très joli vint parler à Irkmael ce qui conclut aussitôt la discussion car, ne voulant point s’attirer ses foudres il préféra rester à l’écart de la conversation pour en n’écouter une autre, quand la même sensation de danger de tout à l’heure revenu, il y avait un filament de brume d’un extrême froid qui passa à côté de lui le faisant frissonner au passage, il ne percevait pas qu’en fait ce filament sournois était en train de lire ses pensées. Eldorwin se demanda alors si cette femme assise à l’écart contrôlait vraiment cette chose ou si elle ne faisait que le prétendre et qu’en fait cette force indomptable avait sa volonté propre parce que cette brume avait l’air d’avoir un malin plaisir à le faire frissonner. Il se reprit aussitôt se disant que c’était impossible que quelque chose d’en le genre puisse arriver. Une personne entama une conversation et il préféra l’écouter que de s’attarder sur de la brume…

(Hrp : pour en savoir plus sur la «malédiction» consulter le topic : La malédiction d’Eldorwin à venir)

Evanist écoutait les discours d’introduction de tous ces personnages qui avaient l’air bien intéressant. Après que quelques personnes sont passé s’introduire, il se leva et alla se présenter. Les pierres précieuses sur son habit, surtout des rubis et des émeraudes, donnaient un éclat vif à la lumière de la salle. Il avait des marques de runes de protections sur son habit, en cas d’attaque spontané.
Bonjour, je me présente, Evanist le 4e de la ligné de la noblesse dans ma cité. Mes ancêtres avaient laissé la terre que nous possédions en très mauvaise posture. Mes parents ont essayé de rétablir la paix dans le royaume, mais les autres cités ne leur laissais pas de chance. Ce fut la raison principale pourquoi nous avons décidé de déménager vers de nouvelles terres, car elle nous semblait plus calme et qu’un nouveau départ serait le mieux.
Mes parents ont été assassinés par des dards empoisonner quand j’avais 15 ans pendant leur voyage avec des dirigeants de ces terres. Je fus chanceux. J’étais encore dans le royaume avec des serviteurs car j’étais malade. Comme j’étais encore trop jeune pour prendre le trône, mon oncle avait prit ma place. Sachant les risques que je pourrais avoir si mon oncle devenait corrompu par le pouvoir, je prit des cours de magie et de combat corps à corps. Je peux m’arranger avec toutes les armes, mais ma préférer est l’épée à deux lames. Si jamais vous vous blesser, je peux essayer de vous guérir. Bon, revenons à mon histoire.
Comme je l’avais prédit, mon oncle essaya de m’assassiner, mais je réussis chaque fois à le devancer. Ce fut à mes 17 ans que j’en avais eu assez. J’organisa avec les soldats du royaume une renversé du pouvoir en leur promettant que j’allais leur payer plus que mon oncle, qui payait ses soldats lamentablement. Donc, lors d’un souper, tout allait calme, quand on tenta de m’assassiner avec de la nourriture empoisonner. Je l’avais senti, et mon oncle l’avait vu. Tanner de ses échecs qui avait eux, il se jeta sur moi avec une dague pour me tuer. Je contra son coup et les soldats entoura mon oncle. Ce fut la fin de son règne. Je ne l’ai pas exécuté, comme certains autres rois avares, mais banni du royaume qui était maintenant mien.
Comparer à mes ancêtres, je travailla avec le peuple. Je leur enseigna plusieurs sorts pour que leurs travaille aille mieux. Je n’ai pu revue mon oncle depuis, cela fait 6 ans, et je suis bien content de m’avoir débarrasser de lui.
Je voudrais rejoindre les vents, car je crois que les guerres et les attaque incessante sont exagérée. Une guerre juste sans coups bas, cela j’accepte, mais quand c’est tout le monde contre 1, c’est la que je trouve cela inacceptable. Je prône la justice et le bien, je préfère défendre que d’attaquer. La vie est déjà trop remplit de souffrance, c’est pour cela que je ne veux pas que cela vire en catastrophe.
Evanist ralla à sa place et écouta les présentations des autres.

(note que cela fait du temps que je n'ai pas fait de rp, et que je n'en n'ai fait pas beaucoup, si j'ai des fautes d'orthographes, svp essayer de me les corriger, le français n'est pas ma meilleur matière. Je voudrais m'améliorer en rp si possible, sa serais bien bon. Et oui, je suis habituer a faire beaucoup parler mes personnages...)

Un homme de taille respectable s'avance, avec un casque à pointes, une armure recouvrant les moindres parties de son corps et un masque sur le visage. Une brise légère suivant ses pas faisant voleter les feuilles à son passage.

Maintenant que les fondations de mon royaume sont placées, que les haches sont venues à bout des arbres environnent et que la production d'armes a commencé, je viens me présenter à vous.

Bonjour,
Je me présente, on m'appelle Aikanaro Seigneur du feu et des fonderies, les Gobelins sont mes serviteurs.
Je suis venu ici car je suis tombé sur un message appelant des seigneurs avides de conquêtes et de gloire à rejoindre les Vents. Immédiatement après réception du message je me suis hâté d'enfourcher mon destrier, j'ai attrapé mon sac et je suis partis sur le route. Les Gobelins m'ont toujours été fidèles et ont répondu immédiatement à mon appel.
La famine a sévis sur mes terres et mes loyaux sujets ont eu du mal à démarrer mais désormais la machine est lancée et rien de pourra détruire ma détermination et ma volonté de construire un grand et beau royaume pointant orgueilleusement vers le ciel.

Peut-être désirez vous en savoir plus sur moi. Mon histoire est longue et peu intéressante, mes fait d'armes n'ont jamais vraiment marqué les esprits sauf, ceux des mes amis les plus fidèles qui reposent actuellement en paix. Autrefois je fût un petit Baron dirigeant un fief, mais rapidement la magie noire et la nécromancie me proposèrent des pouvoir bien supérieurs. Je me suis donc tourné vers une armée de mort vivant, devenant peu à peu l'un des leurs moi-même. Aujourd'hui je ne me montre plus sans masque ou vêtements me couvrant intégralement, la lumière du soleil pourrait bruler ce qui reste des mes chaires. Après avoir été vaincu je me suis endormi pour un repos, je le pensait, éternel mais un puissant magicien m'a fait revenir une nouvelle fois sur les Landes de Thessalie. Mes armées de Morts-Vivant ayant été défaites j'ai recruté des Gobelins, bien plus intelligents et tout aussi puissants au combat.
La lassitude m'a envahit petit à petit et je me suis retiré, mais aujourd'hui je revient et je veux que mon nom reste gravé à sur les rochers que traverseront mes armées.

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